multitud de fines, N. Folch |
Le train découvre ses passagers
ils descendent et pleurent, se battent et tournent au rond
aucun n’est indifférent à sa beauté mais le soleil est
embrassent et odieux
De les voir passer la magnifique machine souffle comme une pneumatique
divin
et aiguillonne le voyage immobile dans la gare.
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