La lumière est un moustique
un train qui rentre et sort.
Allez le train ! Pars sans moi,
mon corps ballonne satisfait
des arbres parricides
leurs ombres au bout de la voie s’effacent
comme si je les respirais
mais je brule dans ma tête
et je délaisse comme un bambou percé par la lumière
mon chemin de voyageur.
Des mots pour des chaussures
c’est le troc parfait
Allez le train !
entraîne des changements et encore des changements,
un désordre complet c’est mon voyage
celé par mes yeux.
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