literatura, poesia, poésie, leseras del tipo secrecionisticas e inutiles a la mecanica espacial de la ciencia real.
jeudi, février 07, 2013
fragment sans titre (encore)
"Je
trouve mon portable dans la poche de mon pantalon et je appel Jean, mais il ne
réponde pas. J’appel ensuite quatre autres avec le même résultat. Finalement
c’est Francisca le numéro gagnant : « Ils sont au commissariat ;
la police est arrivée et a embarqué à tout le monde, sauf moi pour ne pas
laisser mon fils seul qui dormait à coté de toi. Et toi ? ils n’ont pas
réussi à te mettre debout! tu étais trop lourd et ivre pour te porter avec
toute le monde. Les flics n’étaient pas nombreux. Ah, et ils sont vidés les
cendriers pour porter la preuve de qu’on fumait du shit aussi ! Tu imagines ? — je n’arrivais pas à dire un
mot — Le meilleur c’est que tu aies au commissariat, ils sont de ton quartier.
Je crains pour Léticia. » Francisca de l’autre coté du téléphone parlait
avec une voix plutôt amusée, ce que j’ai reçu comme une sorte de trahison à Léticia de sa
part. « Merci » je lui ai dis. Mais avant de
raccrocher elle me demande de la rappeler si quelque chose de grave se produisait,
ce qui ne réussi pas à changer ma gène et mon impression que Francisca s’en
fichait un peu de tout."
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