samedi, septembre 20, 2008

un poème... je crois


Autorización

Es el horizonte bajo el tapete
Es el agua que escurre sobre el computador prendido
Es el final de la última locura,
El derrumbe del último iceberg de mis deseos.

Campos negros
Abandonados por los ríos
Caen como plumas escapando de un Apocalipsis
Y en la órbita de mis temores
El dedo del sol
http-tp-tp
Girando en un c.d.
Con desidia ancestral.

Es el sonido de la madera que se vuelve carbón
En una playa virgen,
Es la fuga de mi cabeza
Que va a perderse con buen clima.

trd. en français

Permission

C’est l’horizon sous le paillasson
C’est l’eau qui coule sur l’ordinateur allumé
C’est la fin de la dernière folie
La plongée du dernier iceberg de mes envies.

Des champs noirs
Abandonnés par les rivières
Tombent comme des plumes qui fuient une apocalypse,
Et dans l’orbite de mes craintes
Le doigt du soleil
tp-tp-tp

Tournant dans le lecteur c.d.
Avec un blasement ancestral.

C’est le son du bois virant au charbon
Sur une plage vierge,
C’est l’évasion de ma tête
Qui se perd avec du beau temps.


Panografia: Mr. Folch

2 commentaires:

Vale a dit…

Me gustó mucho el texto, me sugirió muchas imágenes y eso es bueno, así tiene dinamismo y escurre...

Anonyme a dit…

le poème ne revient pas à la mémoire,
reste à la maison
et sa place dans le vide
est toujours la même

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